Le contexte

En 2013, le projet 'L'art parle' de la ville de Genk a démarré. Des chercheurs en génétique ont été invités à y participer par l'entremise des médias locaux. Quatre œuvres d'art existantes dans l'espace public de Genk y ont été analysées au cours du projet en termes d'origine, d'artiste, de signification, de placement et de commanditaires. En même temps, cette recherche examine la pertinence de ces images dans la ville contemporaine de Genk.

Un certain nombre de groupes de résidents ont eu la possibilité de travailler autour d'une sélection d'œuvres d'art existantes et de se forger une opinion bien fondée sur la base de leurs propres recherches, appuyées par les connaissances de conservateurs expérimentés. Une opinion comme celle-ci va plus loin que le simple fait d'être capable de dire si quelque chose est beau ou non.

Munis d'informations pertinentes sur lesquelles leurs opinions se sont basées, ils pouvaient alors exprimer à leurs concitoyens de Genk le sens et la raison pour laquelle telle image correspondait ou non à la bonne place. De cette manière, une vision commune et un soutien social se sont développés pour les futures lignes politiques quant aux commandes d'art à Genk.

Un premier projet sur les monuments miniers, avec Pieter Vermeulen comme médiateur, a été réalisé.

Le groupe Zwartberg de Genk s'est rendu chez Emscher Art dans la région de la Ruhr pour observer l'art dans un environnement post-industriel.